Porter le bogu la première fois est toujours un moment important et émouvant. Cela consacre un travail réalisé, une implication certaine, la régularité, l’assiduité, l’attention, la compréhension et la mise en pratique.

C’est une étape délicate aussi car les choses changent pour eux mais aussi pour les autres. Il faut un environnement attentif pour bien évaluer les possibilités de chacun(e) afin de permettre la continuation de la progression. C’est un travail pour les plus anciens qui doivent aussi les faire progresser.

Bienvenue à Oriana et Richard dans le club des « porteurs d’armure », bravo pour votre progression et continuez avec la même ardeur. C’est aussi un exemple pour tout le dojo !